25 janvier 2019

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©Martin Guindon - Le Citoyen Val d'Or - Amos

Le président Dan O’Neill a procédé à la coupure du ruban. Il est entouré de Valérie Pelletier, adjointe à la direction, Sébastien D’Astous, préfet de la MRC Abitibi, Jonathan Gagné, directeur général de Sayona Québec, Paul Crawford, directeur des finances, Serge Rouillier, directeur du développement durable, Joey Larouche, ingénieur, et Réjean Richard, maire de La Motte.

Sayona a profité du passage dans la région du président Dan O’Neill et du directeur des finances Paul Crawford, les deux plus hauts dirigeants de l’entreprise venus directement d’Australie, pour inaugurer les nouveaux locaux le 23 janvier.

«C’est un bureau ouvert au public. Si les gens veulent venir nous rencontrer pour échanger, s’informer, consulter les documents du projet Authier, voir des plans du site ou encore nous porter leur curriculum vitae en mains propres, ils peuvent le faire du lundi au vendredi, entre 8h30 et 16h30», explique Serge Rouillier, directeur du développement durable.

Un engagement

L’entreprise réalise ainsi l’un de ses engagements, soit celui d’avoir pignon sur rue dans la communauté.

«Si on veut obtenir du succès avec ce projet, il faut s’implanter dans le milieu. On veut qu’il y ait un maximum de retombées locales, en priorisant notamment les gens d’ici à l’embauche. On sait qu’il y a des travailleurs miniers de La Motte et des alentours qui doivent voyager pour travailler à l’extérieur. Le projet Authier pourrait leur offrir la possibilité de rentrer à la maison après chaque quart de travail», souligne M. Rouillier.

La Municipalité se réjouit

Le maire Réjean Richard se réjouit de l’ouverture du bureau de liaison de Sayona Québec dans sa municipalité.

«On est contents que ça se réalise. C’est quelque chose qu’on leur avait demandé d’avoir un pied à terre à La Motte. Je crois que ça vient montrer leur volonté de faire partie du milieu. Et c’est important d’avoir quelqu’un ici pour répondre aux questions des gens et aussi faciliter le recrutement de travailleurs locaux»,