Actualités
Retour03 avril 2024
Lucie Charest - lcharest@medialo.ca
Quand deux militants engagent une correspondance
Littérature
©Gracieuseté crédit : Serge Bordeleau
Quand ils ne sont pas au front, Geneviève Béland et Henri Jacob écrivent.
Littérature - L’engagement social de Geneviève Béland et Henri Jacob a franchi les limites de leurs territoires respectifs. Toutefois, leur militantisme est loin de s’éteindre une fois que les manifestations auxquelles ils participent sont complétées.
« La dernière si on la perd » regroupe des observations des réflexions qu’ils qualifient de correspondance punk et acidulée. Ils entraînent les lecteurs : « Droits dans leurs bottes devant l’écocide en cours, iels plongent dans « l’abyssal thème qu’est la suite du monde », peut-on lire dans la présentation de l’ouvrage. Tel que souligné par Richard Desjardins qui en signe la préface : « Ils traitent d’immenses sujets qui souvent nous dépassent avec des mots de tous les jours, avec des cœurs sans frontières ».
Geneviève Béland est une féministe régionaliste, née à La Sarre. Militante depuis 2020, elle fait actuellement une maîtrise en acceptabilité sociale. Citoyen de Dubuisson, né à La Reine, Henri Jacob est un militant écologiste. Il travaille à mobiliser la population à se « mêler de ses affaires ». À ce jour, il a vu passer une quarantaine de ministres de l’Environnement.
« La dernière si on la perd », publié dans la collection Brûlot aux éditions Quartz, sera disponible en librairie à compter du 16 avril. Des séances de signature sont prévues le 16 avril à la Galerie du livre de Val-d’Or ; le 22 avril, à la salle Félix-Leclerc pour le lancement officiel présenté par la Bibliothèque de Val-d’Or ; les 25 et 26 mai, au Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue à La Sarre.
Commentaires