L’Abitibi recense trois décès accidentels en quelques jours

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Trois décès accidentels ont marqué les derniers jours en Abitibi-Témiscamingue.

Les derniers jours ont été marqués par le drame, en Abitibi-Témiscamingue. Au cours des derniers jours, trois décès accidentels ont été constatés dans trois secteurs différents.

Le plus récent s’est produit, samedi 21 septembre en après-midi, vers 14h30, alors qu’un cycliste âgé dans la cinquantaine a été happé par une camionnette pendant qu’il circulait sur la route 117.

Selon les premières informations recueillies par la Sûreté du Québec, le véhicule en question circulait en direction sud, près de Dubuisson, avant de dévier de sa trajectoire et frapper le cycliste qui était sur l’accotement de droite.

Le décès a été officiellement constaté quelques heures plus tard. Des amis et membres de la famille de la victime affirment sur leurs réseaux sociaux qu’il s’agit d’Éric Latour 54 ans de Rouyn-Noranda.

Pour le moment, des enquêteurs sont sur la scène de crime pour tenter de reconstituer les événements. Aucune arrestation n’a été effectuée.

Un autre accident routier a également coûté la vie à un adolescent de 15 ans qui circulait en cyclomoteur sur la rue Saguenay (route 101), à Rouyn-Noranda, le mercredi 18 septembre dernier. Circulant en direction sud dans le quartier D’Alembert, celui-ci se serait retrouvé dans la voie inverse, avant de faire un face-à-face avec une voiture, vers 19h.

Malheureusement, le jeune en question a succombé à ses blessures, peu de temps après. L’autre conductrice impliquée a été traitée pour un choc nerveux.

Finalement, un accident de travail impliquant un homme de 44 ans s’est produit le jeudi 19 septembre sur le terrain d’une compagnie située sur la rue de l’Hydro, à Val-d’Or. Travaillant sur une nacelle, l’employé aurait reçu une importante décharge électrique. Sur place, des manœuvres de réanimation ont été effectuées, sans succès. Selon les réseaux sociaux de ses proches il s’agirait d’Adam Pigeon 44 ans.

Un enquêteur s’est rendu sur place. En revanche, le dossier est maintenant dans les mains de la CNESST.

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